Depuis toujours, Cabu était un passionné de big bands, de swing, du jazz "qui déménage" selon ses mots.
Il a travaillé épisodiquement pour le magazine Jazz Hot pendant plusieurs années.Il a également illustré la série de double CD Cabu chez Nocturne, anthologies consacrées à quelques grands musiciens de jazz comme Ellington, Basie, Gillespie, Peterson, Kenton ou encore Bechet.
Son idole Charles Trenet lui a permis de se lancer en se formant au reportage sur les stars des années 60 pour le magazine Hara Kiri. Mais face à la mélancolie de la chanson française il ne peut s’éloigner de la joie de vivre du swing. Grâce à Charlie Hebdo, il parcourra les festivals et les salles de concert où il rencontrera des personnages mythiques du jazz comme Cab Calloway et Duke Elligton, rapportant ainsi des centaines de dessins.